
-Combien de pronostics sont proposés ?
Je ne peux pas vous donner un nombre exact, cela dépend des opportunités qui se présentent.
Lors des 8 dernières saisons (2014/2015 à 2021/2022), j’ai proposé 2 707 pronostics en cumulé sur tous les championnats (soit une moyenne d’environ 338)
-Sur quels bookmakers se basent les pronostics ?
Je me base uniquement sur le bookmaker Pinnacle (ps3838).
-Pourquoi n’y a-t-il que des pronostics sur le basket ?
Je me concentre uniquement sur le sport que je maitrise et où j’ai le plus de connaissances. Et plus particulièrement quelques championnats que j’observe assidument depuis 1999.
-Quels sont les types de paris proposés ?
Je conseille 3 types de paris en simple (je ne propose pas de paris combinés) :
-le face à face (ou « Money Line), c’est à dire la victoire d’une équipe.
-le handicap (ou « Spread ») [je vous invite à consulter un article explicatif]
-le seuil de points (ou « Over/Under »)
-Quelle stratégie de mise adopter ?
Je conseille une mise fixe d’1% de votre capital de départ pour chaque pronostic.
-Quel bénéfice pouvez-vous espérer ?
Il n’existe pas de méthode miracle. Attention aux arnaques et promesses irréalistes que l’on peut voir surtout sur les réseaux sociaux (comme par exemple multiplier votre capital par 10 en un an, ou alors obtenir un yield de +100%). Je suis loin de pouvoir vous promettre un tel rendement pour la simple et bonne raison que c’est impossible.
J’ai un objectif beaucoup plus modeste et réaliste qui est d’essayer de terminer la saison en bénéfice. Bien sûr je ne peux pas vous garantir à 100% qu’il sera atteint. Sur les 8 saisons disputées en tant que tipster professionnel, j’ai fini 7 fois en bénéfice [cf Bilan]
-Quelles peuvent être les variations de cote ?
La NBA est un marché de masse, c’est à dire qu’il y a énormément d’argent misé. Par conséquent la variation reste faible, entre un et deux centièmes, sauf pour les Over/Under où les liquidités sont moindres. Pour les autres championnats (européens), ce sont des marchés intermédiaires. Les cotes sont donc susceptibles de varier plus fortement (autour de 10/15 centièmes). Ainsi j’adapte ma stratégie en tenant compte d’une marge de manœuvre plus grande afin qu’un handicap reste intéressant à tenter avec jusqu’à 1,5 point de différence (c’est à dire que si je propose par exemple un handicap -4,5 j’estime qu’il est aussi jouable à -5, -5,5 et -6).
-Quelle stratégie adopter par rapport aux variations de cote?
Plusieurs cas de figure :
-le handicap proposé n’est plus jouable car la marge de 1,5 points est dépassée : je vous conseillerai de faire l’impasse
-un seul handicap est disponible, dans ce cas-là il n’y a qu’une seule cote
-deux handicaps sont disponibles : deux stratégies possibles, soit le handicap le plus intéressant, soit la cote la plus intéressante
-trois ou quatre handicaps sont disponibles : trois stratégies possibles, soit le handicap le plus intéressant, soit la cote la plus intéressante, soit un arbitrage entre les deux.
-Quelle mise minimale pour espérer rentabiliser le coût de l’abonnement ?
Je préconise de miser une vingtaine d’euros au minimum par pronostic pour espérer rentabiliser l’abonnement. Si votre bankroll est encore trop limitée, je vous conseillerai alors de ne pas prendre d’abonnement. NB : je vous invite à lire l’article quelle somme créditer sur son bookmaker ?
-Quelle est la procédure à suivre pour s’abonner ?
Il vous suffit de vous inscrire sur la liste d’attente et je vous recontacterai directement par mail.
-Quelles sont les modalités de paiement ?
-Par virement Paypal, Neteller ou Skrill (je vous transmettrai mon adresse dans ce cas).
-Par virement bancaire (je vous transmettrai mon RIB dans ce cas).
IMPORTANT :
Il n’y a pas de lien sur mon site pour le paiement. C’est à vous de l’initier directement depuis votre compte bancaire. Ainsi il n’y aura pas de prélèvement automatique (comme on peut malheureusement le voir souvent avec des personnes peu scrupuleuses) puisqu’il s’agit d’un virement unique.
-Est-ce que je suis parieur professionnel ?
Non ! Sur la toile vous pouvez voir beaucoup de personnes s’autoproclamer « parieur professionnel » mais dans la réalité très peu le sont, pour la simple et bonne raison que leur revenu principal ne provient pas de leurs paris. C’est aussi mon cas puisque je suis tipster professionnel. C’est à dire que mon revenu principal est issu de la vente d’abonnements aux pronostics. Mes propres paris sont un revenu complémentaire.
-Pourquoi je fais très peu de marketing?
La raison principale c’est que j’ai pour objectif prioritaire de fidéliser, et non pas d’avoir un gros turnover d’abonnés. Je préfère donc consacrer le maximum de temps à proposer un service de qualité (des pronostics rentables sur le long terme, des conseils en paris sportifs, des informations sur l’actualité basket, de la disponibilité pour répondre aux questions des abonnés).
Avoir une certaine notoriété sur la toile ne signifie pas forcément proposer un service de qualité. Quand il y a trop de marketing, posez-vous la question de savoir si ça ne cache pas une volonté d’avoir sans cesse de nouveaux abonnés, car très peu sont fidélisés. Et comment proposer un service de qualité en passant son temps à faire du marketing ?
-Quel est mon parcours ?
Je ne suis pas du genre à me mettre en avant, pensant que l’humilité et la remise en question sont indispensables pour durer, mais vous vous demandez peut-être quel a été mon parcours.
D’abord au niveau professionnel : après une Licence générale en gestion, je me suis orienté vers un Master Contrôle de Gestion. J’ai travaillé dans ce domaine environ 4 ans (jusqu’à novembre 2014). En parallèle, j’avais créé un blog amateur sur les paris sportifs en juin 2011, qui a évolué jusqu’au site actuel lancé le 11 mars 2013 dans sa version 1, puis mis à jour le 17 avril 2020 dans sa version 2. Donc j’ai cumulé pendant environ 1 an et demi une activité de salarié avec celle de tipster. J’ai ensuite démissionné pour me consacrer à plein temps (depuis novembre 2014 une cinquantaine d’heures hebdomadaire pendant la saison) à mon activité de tipster.
Ensuite au niveau du basket : j’ai commencé à m’y intéresser à la fin des années 90 et y ai joué en club entre 1999 et 2020. Durant deux saisons en cadet « championnat de France » j’ai pu croiser quelques joueurs qui sont devenus professionnels comme Adrien Moerman, Aurélien Salmon, Loïc Akono, Mickaël Mokongo, et quelques coachs de renom comme Germain Castano ou Philippe Hervé. En sénior, j’ai joué jusqu’en Nationale 3. Cela m’a permis d’accumuler une bonne connaissance de ce sport.
-Quelles sont les qualités nécessaires pour me suivre ?
Si pour être tipster ça demande une grande force mentale, de la patience, et beaucoup de discipline, sachez que pour me suivre au quotidien c’est un peu la même chose. Il vous faudra être rigoureux dans votre stratégie de mise, savoir rester lucide dans les bonnes ou mauvaises séries. Votre bankroll est la chose la plus importante pour espérer tirer son épingle du jeu, et il faut en prendre soin.